Malgré le mistral glacial (pléonasme) de cette fin novembre, je ne suis pas le seul à arpenter les plages, tel le surfeur confirmé, à la recherche de « la vague ». Je n’ai pas eu la patience de mon collègue, assis sur une rocher, qui n’a pas quitté une seconde le viseur de son appareil photo. J’espère qu’il l’a eue !
