Le plus souvent, quand je descends la Canebière, je garde l’appareil photo (discrètement) à la main. C’est bien rare que je ne trouve pas une situation ou quelqu’un à photographier. Ce jour-là, quand je vois cet homme seul au petit sourire énigmatique, assis à une terrasse devant les mannequins, je n’hésite pas très longtemps avant d’appuyer sur le déclencheur.
