Au croisement avenue Maréchal Foch boulevard Françoise Duparc, une rue déserte, un arrêt de bus vide et un banc légèrement en retrait de la circulation. Ce jour tout est calme, je vois d’abord les chaussons du monsieur avant de découvrir le reflet de son visage dans la vitre de l’arrêt de bus.
J’aime bien.
