Plage du Prado

Je le vois de loin un matin de grand vent. Le froid a fait fuit les promeneurs et les contemplatifs, mais il demeure imperturbable. Assis sur un muret, je l’observe de loin : il passe de l’immobilité totale à des figures au ralenti ou très rapides, comme s’il avait un adversaire face à lui.

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