Sortie dans le quartier de la Belle de Mai un matin hivernal ensoleillé qui inscrit les ombres sur les murs. J’attends, je ne sais pas trop quoi, mais j’attends. Cet espace me parle. Comme dit Raymond Depardon : « Il y a quelque chose de mental dans la photo de rue. Il ne faut pas trop chercher à comprendre, il faut laisser l’improvisation se faire par rapport à quelque chose qui te dépasse. » Je suis dépassé.
