C’est le matin, vers 9 h, je suis assis avec mon bouquin, seul, dans le wagon. Le temps maussade ne donne pas envie de s’intéresser au paysage. Plongé dans Le Passage de Justin Cronin, je ne l’entends pas arriver, je ne la vois pas s’assoir ni s’allonger. Quand je lève la tête, en entendant le nom de ma destination dans le haut-parleur, je vois ce que vous voyez sur la photo.
PS : regarder sur un véritable écran, pas sur un téléphone.
