Le parc Longchamp, c’est d’un côté « le jardin zoologique » dans lequel il n’y plus le moindre animal, de l’autre « le jardin du plateau ». Ces deux espaces sont reliés par une passerelle piétonne au-dessus du boulevard Cassini. Adossé à la balustrade, j’attends les passants qui traversent le nez au vent. Mais pas toujours.