Garlaban

C’est un beau dimanche du mois de mars. Balade dans le massif du Garlaban, terrain de jeu du jeune Marcel Pagnol : « Je suis né dans la ville d’Aubagne, sous le Garlaban, couronné de chèvres, au temps des derniers chevriers », dit-il dans La gloire de mon père. Je n’ai croisé ni chèvre, ni chevrier dans ces magnifiques collines. En grimpant sur le Pic du Taoumé (qui culmine à près de 700 mètres !), je fais demi-tour sur le sentier pour voir Marseille et la Bonne Mère.

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