Retour du marché de La Friche de la Belle de Mai sous une chaleur quasi aoûtienne. Appareil photo dans une main, sac de fruits et légumes dans l’autre, avant d’attaquer la (re)montée de la rue Pautrier, je fais une pause photographique. Arrive ce camarade de commissions : « Ah, je suis fatigué, je bosse dans la restauration, je marche toute la journée et en plus il faut que je fasse les courses pour moi. Pffff… », me dit-il.