J’ai garé la moto au bout du chemin dans la calanque. Je pars à pied sur le sentier et je m’engage sur les rochers au-dessus de la mer. Je m’approche du bord de l’eau, prêt à descendre jusqu’au rivage. Mais il est là, tranquille, posé, peut-être endormi. Je fais demi-tour sur la pointe des pieds. Il y a des moments où il ne faut pas déranger.